Vous, dont on voit briller, dans les nuits azures,
L’clat immacul, le divin lment,
Etoiles, gloire vous! Splendeurs toujours sacres!
Gloire vous qui durez incorruptiblement!
L’homme, race phmre et qui vit sous la nue,
Qu’un seul et mme instant voit natre et dfleurir,
Passe, les yeux au ciel. — Il passe et vous salue!
C’est l’immortel salut de ceux qui vont mourir.
23 августа 1850
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